Grosdidier de Matons, Marcel (1885-1945)
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Identité du père
Nom du père
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Profession du père de l'érudit
Identité de la mère
Nom de la mère
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Enfants de l'érudit
Statut social de l'érudit
Études de l'érudit
Lieu d'études
Carrière et activités professionnelles de l'érudit : fonction principale
Distinctions et décorations de l'érudit
Voyages et séjours à l'étranger de l'érudit
Carrière politique
Champs disciplinaires principaux de l'érudit
Champs disciplinaires secondaires de l'érudit
Société savante
Responsabilités de l'érudit dans la ou les sociétés savantes
Prix et distinctions académiques de l'érudit
Prix Erckmann-Chatrian pour son ouvrage En Lorraine (1935)
Présence de l'érudit dans la BDD France savante (CTHS)
Production scientifique de l'érudit : imprimés
Autres informations
Sources d'archives sur l'érudit
Bibliographie concernant l'érudit
CHAUNU Pierre, "Le fils de la morte", dans : NORA Pierre (dir.), Essais d'ego-histoire, Paris, Gallimard, 1987, p.61-107.
DELMAS Ernest, "Chronique", Revue de la Haute-Auvergne, 1946, t. XXXI, p.245.
LIESENFELT Pierre, "Marcel Grosdidier de Matons (1885-1945)", dans : BLANCHARD Jean-Christophe, GUYOT-BACHY Isabelle (dir.), Dictionnaire de la Lorraine savante, Metz, Éditions des Paraiges, 2022, p.160-161.
PFISTER Christian, "Marcel Grosdidier de Matons. Metz", Revue historique, 1930, vol. 163, p.191-192.
POCQUET DU HAUT-JUSSÉ, "Chronique", Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, 1946, p.36.
VANNERUS Jules, "Marcel Grosdidier de Matons. Le comté de Bar des origines au traité de Bruges (vers 950-1301)", Revue belge de Philologie et d'Histoire, t. 4, fasc. 2-3, 1925, p. 513-520.
Webographie concernant l'érudit
Biographie
Marcel Grosdidier de Matons occupe successivement un poste de professeur d'histoire-géographie au collège de la Châtres à Vitry-le-François, au lycée d'Aurillac, au lycée Henri Poincaré de Nancy et enfin, au lycée Fabert de Metz.
Installé à Metz depuis 1934, il s'attache à réaffirmer l'importance historique de la ville, revenue dans le giron français depuis quelques années. L'érudit publie alors de nombreux articles et ouvrages à l'instar de Metz (1929), salué par Christian Pfister.
Membre de plusieurs associations et sociétés savantes, Marcel Grosdidier de Matons est un intellectuel engagé qui dénonce notamment la montée du nazisme dans les années 1930. L'invasion du territoire mosellan par les Allemands le pousse à abandonner Metz pour la Bretagne, où il trouve refuge à Paramé en 1940.