Benoit, Louis (1826-1874)
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Identité
Nom de l'érudit
Prénom(s)
Chercheur responsable de la fiche de l'érudit
Genre
Nationalité
Date de naissance
Lieu de naissance
Date de décès
Lieu de décès
Lieux de résidence
Profession du père de l'érudit
Statut social de l'érudit
Études de l'érudit
Lieu d'études
Carrière et activités professionnelles de l'érudit : fonction principale
Voyages et séjours à l'étranger de l'érudit
Carrière politique
Informations sur la carrière politique de l'érudit
Prises de position (orale ou écrite) de l'érudit
Informations sur la bibliothèque
À la mort de Louis Benoit, son frère Arthur hérite de la bibliothèque. Celle-ci est dispersée à la mort d'Arthur Benoit, en 1898.
Champs disciplinaires principaux de l'érudit
Société savante
Publiant dans le cadre de la ou des sociétés savantes
Oui - publie notamment pour les Mémoires de la Société d'archéologie lorraine (1859-1870)
Responsabilités de l'érudit dans la ou les sociétés savantes
Présence de l'érudit dans la BDD France savante (CTHS)
Production scientifique de l'érudit : imprimés
Bibliographie concernant l'érudit
JALABERT Laurent, "Louis Benoit (1826-1874)", dans : BLANCHARD Jean-Christophe, GUYOT-BACHY Isabelle (dir.), Dictionnaire de la Lorraine savante, Metz, Éditions des Paraiges, 2022, p.55-56.
LEPAGE Henri, "Louis Benoit", Journal de la Société d'archéologie lorraine et du Musée lorrain, 1874, p.215-220.
LEPAGE Henri, Louis Benoit, bibliothécaire en chef de la ville de Nancy. 1826-1874, Sarrebourg, E. Morin, 1875, 16p.
Commentaires libres sur l'érudit
Louis Benoit publiait également dans Le Moniteur de la Meurthe, Le Monde illustré et d'autres petits journaux locaux.
Biographie
En 1866, il s’installe à Nancy où il travaille en tant que bibliothécaire en chef municipal. Sa vie professionnelle lui laisse suffisamment de temps libre pour se lancer dans la constitution d’une bibliothèque « sarregovienne » avec son frère Arthur. Son activité en tant qu’érudit prend progressivement de l’ampleur, en témoigne son insertion dans diverses sociétés savantes telles la Société d’archéologie lorraine et du Musée lorrain, l’Académie de Metz, la Société d’archéologie et d’histoire de la Moselle ou encore l’Académie de Stanislas. La qualité de ses travaux est reconnue par ses confrères à l’instar de Prosper Guerrier de Dumast.
Archéologue amateur reconnu en Lorraine, il publie de nombreux travaux portant sur ses découvertes et entretient une correspondance avec d’autres confrères, Henri Lepage notamment. Ses travaux, particulièrement nombreux, apparaissent dans les Mémoires de la Société d’archéologie lorraine (1859-1870), dans le Bulletin de la Société d’archéologie et d’histoire de la Moselle (1860-1873) ainsi que dans le Bulletin de la Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace.